J’étais là, à l’aube d’une nouvelle vie inconnue. N’aurais-je pas été égoïste d’avoir souhaité une meilleure vie? Souhaiter de quitter ces tréfonds infernaux. Sueur, chaleur, ardeur. Tout ces vices m’ont pourrit la vie durant ces longues, très longues années sous terre. J’ai pris ma chance, j’ai pris la seule chance de mon éternité pour quitter ces sous-sols d’ébènes J’y vois maintenant. Les deux soleil frappent mon iris comme un orfèvre frappe son enclume. J’y vois toute la liberté qu’il manquait en bas. Que le vent m’emporte dans ses bourrasques et que j’y vole! Que j’y vole enfin comme un oiseau dans sa danse nuptiale! … Que les vents m’emportent.

En attente.