Bientôt.

Un jour je serai le meilleur random... ----------------------------------- Un texte écrit par Aleiksei, dépeignant une vision un peu dramatisée/romancée du personnage. Merci à lui ! "Dans les profondeurs de la déshumanité obscure, dans les Abysses du Cube-Monde se tient un Onyx. La tête plongée dans les eaux noires de son esprit, le marqué de l'Heptacle ne respire pas. En tout cas, ses nombreux cœurs ne battent plus, et si on n'entendait pas siffler sa frustration, on pourrait le penser mort. Sa présence ténébreuse fait bouillir l'eau visqueuse, sale et épaisse de l'Océan. Le Parjure est fait de beaucoup de ressentiment, beaucoup de secrets. Beaucoup d'ambition, aussi. Les bêtes de l'Océan profond ne vivent pas de la lumière des étoiles, et évoluent dans le sens contraire de la Sainteté. Aserno est comme ça aussi, la lumière est une chaîne, et comme toutes ses chaînes, il s'en défait. La morale ne s'accorde qu'avec la réussite. Un sourire carnassier et mystérieux traverse l'Onyx, qui plonge encore un cran plus bas. Une immensité de liberté s'offre à lui, dans l'océan on est presque comme dans l'espace, et on vole comme les monstres qui usurpent les places des Dieux. Et si eux le peuvent, alors n'importe qui le peut. Et ce que n'importe qui peut, Aserno le peut dix fois mieux, bien sûr. Sans forcer. Pas besoin de combat, ni même d'ennemi, ni même d'allié. Tout le monde se tient en dessous et il n'y a que quelque gens utiles, souvent casse-pied. C'est en s'entourant de gens brillamment épuisants qu'une ombre comme Aserno trouve sa place, discrètement. Il rit de sa puissance qui augmente, et il rit des chiens qui l'insultent, des moines sans forme qui ne voient rien de son immensité. Aserno est une sombre déchéance. Et l'air de rien, sifflotant...Il se noie, et bâtit son royaume sous les mers, comme une cité impossible." ----------------------------------- Extrait des annonces site : Le 14/07/25 à 23:06 » Après la plus grande des folies, la plus haute des injures au Cosmos, le Seigneur Abyssal Aserno a disparu. Certains, au creux de leur esprit, ont cru voir quelque chose qu'ils n'oublieront jamais. Aserno, quelque part, s'est figé pour l'éternité.