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Recueil de poèmes

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Myecyclame à vous, frères et soeurs de l'Ordre et des autres allégeances En ces temps troublés, il est bon de pouvoir s'évader. Et les mots peuvent être un exutoire ou une ouverture vers l'espoir. Car malgré tout ce qui nous différencie Malgré tout ce qui nous contrarie Nous respirons le même air Nous admirons le même soleil Je vous propose donc à tous, sous couvert de l'Institut des Plumes et des Lettres, de lâcher vos idées à travers des poèmes que vous aurez personnellement créés, sur tous les sujets pouvant toucher notre Cubemonde, notre vie sur ces Terres que nous affectionnons ou à défaut où nous vivons. Je propose également à tous ceux qui le souhaitent et le peuvent, d'illustrer vos poèmes ou ceux de quelqu'un d'autres. Tous ces poèmes seront apposés dans cet espace de la place publique et peut-être serviront-ils un cyclame à nous rapprocher ou mettre en relation d'autres univers. En espérant que vos plumes soient la meilleure défense contre l'adversité. Kehlm Vea Drung-Yig Pour l'Institut des plumes et des lettres [En fait, le projet est de réaliser un recueil de créations poétiques issues de vos personnages mais aussi de vous puisque figureront dans ce recueil des poèmes écrits par vos persos, quelqu'ils soient et parlant de l'univers d'Hb MAIS AUSSI des poèmes écrits par vous, le joueur, sur l'univers IRL. Des poèmes déjà écrits par le passé, qui ont même été donnés dans les fan-art et autres forums de création, pourquoi pas, mais aussi des poèmes que vous allez écrire à partir de maintenant :) De plus, vous avez la possibilité, si vous le souhaitez et pouvez, d'illustrer certains poèmes rp ou hrp parmi les vôtres ou ceux d'autres joueurs. Leurs idées peuvent vous inspirer une illustration. Les poèmes peuvent donc être publiés directement sur ce topic pour que tous ceux qui le souhaitent puissent les lire et trouver des sources d'inspiration pour illustrer. Envoyez-moi les illustrations et je les placerai. Si nous sommes assez nombreux à répondre à ce projet, nous pourrions proposer à l'association de publier ce recueil sur papier, avec ses illustrations. Donc, à vos plumes et à vos crayons :-) ]	Porteur du Serment DrungYig Le 04/02/18 à 22:23

~>>- Il est Souffle vital, et fine lueur d'Espoir. -<<~ Caresse de douceur, Fraicheur, profonde ivresse, Prière de Salut, jusqu'en nous pénétrante, Parvenue jusqu'aux Coeurs, et âme pécheresse, De nouveau parvenue ! Insoutenable attente.. Caresse pétillant', piquante et saisissante, Lueur des invisibles, qui tel feu peut brûler, Source de notre Vie, et Mort des plus ardentes, Prenez garde mortels, si vie il peut tuer ! Chant d'émerveillement, danse de la lueur, Ô combien nécessaire, Ô combien vivifiante, Lueur de l'invisible,au toucher protecteur, Message imperceptible, simples notes chantantes. Jamais ne le verrez mais toujours le sentez, Voyageur au corps pur, souffle Ô tant aimé, Au sein de bras d'azur, invisiblement pales, Tel est le messager portant chant de Cristal. Julietta -<<~	Sankt Hekatèh Le 05/02/18 à 07:16

-* Regrets & Rancunes *- Critiqués et craints pour leur servitude aveugle, Pourtant présents, mêlés à l'Ordre dans l'erreur, Prêchant de n'altérer ce Sommet de malheur, Approuvant l'argument de l'Apprenti qui beugle. Maintes fois avertis de la mauvaise augure, Vous croyez-vous vraiment modèles de raison ? Quatre frères et soeurs sacrifiés en Son nom, La voie de la sagesse vous semblait si dure. Son message suivant, bêtement, tels des Yeux, Tourmenteurs des Arkhyels, vous ne valez pas mieux. Qu'au dilemme à venir soit ancrée la leçon, Qu'à un excès de foi mieux vaut la réflexion. ~ Bag'Thazar	Chercheur Bag'Thazar Le 05/02/18 à 10:22

-* Barbares - Ils s'élèvent sur un tas de corps multicolores, Vert honteux, une peur Bleue ainsi que du Rouge sang, Ils poussent des hurlements jusqu'au prochain campement, Voués à être les seuls encore debout à l'aurore. Le sol tremblote sous leurs lourds pas assourdissants, Chargeant fièrement grâce à leurs robustes montures, Bravant les flammes ordreuses malgré toutes les blessures, Accompagnés de terribles orages foudroyants. Seul l'Astre Brisé illumine son visage sali, Recouvert par la poussière des décombres Sanghates, L’étendard de la Cohorte lui est bien ingrat, La tâche du Seigneur est bien loin d'être accomplie. Le poème est signé d'un dessin représentant une flamme noire.* (Prière de ne pas supprimer ce poème, considérez-le comme HRP !)	Apprenti Bossa Le 05/02/18 à 12:45

=-= Brumes éternelles =-= Ici le brouillard vit, d’un océan sans fond. Des bâtisses de bois, un vieux récif supporte. D’anciens chants de muse, le zéphyr emporte, Une cité vide, qui n'exulte aucun son. Dans la baie de pierre, serpentent les pontons. L’air en est glacial, la brise bien trop forte. Débauche viscérale, la Compa' est morte. Une ile après-guerre, Tida' à l'abandon. Mais alors que le ciel, des étoiles le fiel, S'ouvre et puis s'éventre, firmament éternel, Se révèle une lune d'ivoire brisée. La taverne s'ouvre et vient battre le refrain, Ses habitués reviennent en son entrain, De son tas de cendres la Compagnie renaît !	Banni Alexender Le 05/02/18 à 16:43

[Peut-être que, si vous êtes d'accord, bien sûr, les poèmes RP peuvent être signés du nom de votre perso et les poèmes HRP de votre prénom à vous. Bien sûr, si cela ne vous ennuie pas.]	Oracle Prirocythe Le 05/02/18 à 19:11

-<> L'Emeraude <>- Il est une pierre des plus précieuses ici, Une pierre changeante et volatile, Envahissant chacun de nos sens par son contact, son chant et son éclat, Taillée par un fin joailler, forgée sous une constante et douce chaleur, Cette pierre de vie sans laquelle nous ne serions, cette pierre éclatante, Encrée dans le Cube, irradiant de lumière vivace et harmonieuse, Regardez la, cette pierre, admirez l'Emeraude, Forgée et Forgeant par et pour la chaleur, Recevant la vôtre, recevant la leur, renvoyant la sienne. Voyez en son coeur, entendez ses murmures, écoutez sa symphonie, Laissez vous guider.. Laissez vous guider l'âme tel ses Gardiens qui l'écoutent chanter et l'admirent danser... Oeuvrant de leur chaleur, Conservant l'Oeuvre du fin joailler. Julietta -<<~	Sankt Hekatèh Le 05/02/18 à 20:07

=-= Remortalité =-= Il pleure. Tout sauf des larmes de bonheur, Ces immondices s’écoulant avec lenteur, Vers les fleuves du désespoir et des malheurs. Il soupire. Ajoutant son modeste souffle à la brise. Sous le regard des étoiles, de sa Lyre, Il tombe à terre et comme du verre, se brise. Il s’enfonce. Doucement, dans les abysses de la mort. Il ne souffre point même d’une once. Il vit juste les fleurs peupler sa tombe, son corps. Il est serré, compressé. Puis ce malaise s’arrête, il flotte. Dans un vide mort et inanimé. Avant d’ouvrir les yeux pour Chuter dans la flotte. --Alexender Da Silva.	Banni Alexender Le 05/02/18 à 21:22

=-= Candiru Repu =-= L'atmosphère est lourde. La bruine vient juste de délaver les pavés. Au loin résonne le son clinquant des gourdes, Et le brouha d'accordéons, de lyres étouffées. Au tournant d’une ruelle sordide, Là où la nitescence d’une lucarne éclaire, Une porte en bois sombre, gardée par un hybride. Protégeant de ses lourds battants nos pauvres hères. Approchez-vous mes bon amis, Saluez l’Hybride, passez la porte. Écoutez la simple musique. Laissez faire la douce mélodie qui vous traîne, vous porte. A l’étage, plongé dans le nuage des cigares, Nos amis de la Compagnie discutent de lointaines contrées. Nos amis au tons criards, buveurs de rhum malté. Perdant leur vue par un simple regard hagard. Sur le balcon, deux maîtres pâles guettent au loin. Ils sont tous deux à la rambarde accoudés. A plancher philosophie sur ce qu’ils ont fait, Tout en sirotant la fiole qu’ils tiennent entre leurs mains. En bas enfin, le patron s’affaire à servir des chopines. Pendant que deux verts dansent, Juste à leurs côtés, un profane s’emplit la panse. Au coeur de ce taudis qui ne paye pas de mine. La bâtisse tremble au rythme des vents. Les poutres grincent et hurlent de mécontentement. Emportant cette douce mélodie, Dans les plus noirâtres tréfonds de la nuit. Et alors que la pancarte subit les assauts des zéphyrs enragés, Dans la mare valsent de petits Candirus, Donnant à ce lieu singulier, nom et renommée. Au Candiru Repu. --Alexender Da Silva.	Banni Alexender Le 05/02/18 à 21:24

=-= Paradoxe d’Ordreux =-= L’Ordre, Et l’Entropie. Le Désordre, De sa vie. Ils sont quatre géants, Parmi le Cube-Monde. Les quatre des plus grands. Qui se font face dans la ronde. L’Ordre est premier, Fondé sur les ruines de ces terres. Et depuis qu’il fut créé, Il vit, avance et prospère. Vinrent avec lui, Thurges et Compagnie, L’un, sur la nature centré, L’autre voulant chercher et étudier. Thurges les maîtres des éléments, Quel paradoxe que l’on ne peut voir autrement. A savoir les hommes des plantes, Maniant les sciences ardentes. Et à cet état parlons de la Compa’! Une assemblée d’Hommes adroits Qui de par sa prestance tient en ses rangs, Les Preux, les plus importants. Le tiers du Conclave y tient siège. L’on ne s’étonne point après, Que lorsqu'on parle de privilèges, En lice, ils soient premiers. Vient ensuite l’Ordre et le Sacer’. La fameuse assemblée d’érudits. Qui gardent secret Savoir et Pouvoir au prix de leurs vies. Et ne le partage que si on les sert. Viennent ensuite les Arbitres. Eux-mêmes se pensent juges habiles. Mais ce n'est qu'un Titre. Et ils ne sont bons qu’à s’échauffer la bile. Enfin arrivent les Séides, Se battant pour leur Pale. Mais leurs êtres n’exultent qu’acide, Et leur voix n’est guère plus qu’un râle. Finalement, si l’on parle des Ronins, Qui de la Caste où vivent leur caste, Font en particule bien moins que rien, Pas plus de vent qu’une arme d’hast. Voilà l’ironie de ces Lieux, Un monde de haine, Un monde où même les plus preux. S’entre déchirent sans peine. Pourtant au milieu de ce chaos, Certains s’offrent le rare droit de rêver. Que cela est beau… Pourtant les songeurs sont les premiers à trépasser. Finalement au milieu de ce conflit, Opposant bons aux mauvais, Seule reine est l’agonie. Assise sur le trône de ses méfaits. Ordre ou Entropie, Quel complexe choix de vie. [Non signé]	Banni Alexender Le 05/02/18 à 21:27

Par cette désolation du temps figé Nous voilà réduit à maintenir un espoir. Continuellement assiégé par l'obscurité, C'est en eux que nous nous sommes mit à croire. Levez le regard et voyez ce monde en ruine, C'est sur un échec que vous contemplez notre passé. Par Son oeuvre vous observez son crime, Notre premier guide a su nous réfugier. Perdurant sur cet astre brisé, Il est de notre devoir d'en faire un foyer. Gardant avec espoir ceux qui ont pu être sauvés, Nous voilà condamné pour l'éternité. R. B.	Mort Elenna Le 05/02/18 à 21:42

=-= Ordre =-= Tomber de haut, Chuter bien bas. Partir trop tôt, Pour revenir une nouvelle fois. Vivre dans une éternité, Et pourtant craindre la mort. Vivre dans cette réalité, Sans jamais en voir l’aurore. Suivre les idéaux, De différents horizons. Penser avoir faux, Mais créer des relations. Choisir un groupe, Croire en ses choix de vie. Préparer les troupes, A cause des ennemis. Se battre sur des différences, Jusqu'à en oublier les ressemblances. Perdre toutes ses références, Et en cultiver la méfiance. Monter en importance, Apprendre les fameuses Valeurs. Sacrifier des connaissances, Tout en vivant dans la peur. Partir à l’aventure, Découvrir meilleur ou pire. Abandonner son futur, Et finalement en mourir. Contempler le silence, Flotter dans l’obscurité. Reprendre conscience, Et en sortir marqué. Se relever, Avancer. Marcher, Hurler ! Finalement telle est la vie. Aller jusqu'au prémices de la folie. Prendre sa dernière revanche, Se reposer, dans les Limbes Blanches. --Alexender Da Silva.	Banni Alexender Le 05/02/18 à 21:43

[Poème HRP] Aube, nuit, soir ou matin, J'étais faible, seul et petit, Près de toi, fort, stable et gardien, Va, pars avec ce que je t'ai appris ! Je t'ai vu grandir, D'une simple graine, tu es devenu chêne. Belles sont les feuilles que tu as su verdir, Va, pars, je dois maintenant quitter ta scène. Répands l'amour dont je t'ai arrosé, Aime, épouse, caresse la vie, Surtout, n'oublie jamais ceux qui t'ont aimé, Va ! Pars ! Découvre le monde ! Comble ta curiosité insatiable ! Trouve ta voie ! Vis ! Hugo B.	Maître Iridius Le 05/02/18 à 21:50

[HRP] O toi, roi de mes nuits, ne voit-tu pas mon envie? Celui qui me fait croire, jusqu'a n'en plus pouvoir. O toi, homme de mes jours, tu voit, cet marque de velours, elle est gravé, dans mon cœur, et plus jamais je n'ai peur. O toi, soleil de mes sentiments, ne voit tu pas, au firmaments, Que l'amour que j'ai à ton égard, n'est pas que le fruit du hasard. Alison C. (Pour Adrien B.)	Prêtresse du Feu Idunn Le 05/02/18 à 22:11

- Les aventuriers aux noms inconnus - Au delà des terres de Sangha. L'aventure attend les dégâts. Remuant les terres et les mers. Et en trépassant par les airs. -- Des guerriers multicolores. Découvrant les terres inconnus. Ainsi que voyageant par les aurores. -- Ces aventuriers des nobles. Leurs noms résonnent les horizons. et c'est Les Compagnons nobles. - Klement, apprenti de l'Ordre.	Mort Klement Le 06/02/18 à 07:31

=-= Limbes Blanches =-= Un océan de vide, Un sol de terres pétrifiés, Un monde anhydre loin de toute réalité. L’eau n’a même pas une ride. Une agonie perpétuelle, Des peurs en kyrielle. Un trajet en Enfers, Un trajet à ne rien faire. Le Monde immaculé, Un lieu de calme et de paix. Un lieu où la solitude est seule reine. Le seul lieu où il n’y a place pour la haine. A la frontière du corps et de l'esprit, A la frontière de la mort et de la vie. Ce lieu dont où les ombres foulent la Terre. Ce lieu où rien ne peut se qualifier de prospère. Ce lieu de pure folie, Ces terres de perpétuelles agonies. Les Limbes Blanches. --Membre Alexender Da Silva.	Banni Alexender Le 06/02/18 à 15:41

=-= Règles =-= Pauvre enfant, Tout de vert vêtu. Qui s’en va content, Voulant voir ce qu’il a entendu. Ils te l’avaient dit, Ils t’avaient prévenu. Tu l’as mal pris, Tu leur en a voulu. Tu refusa conseils de tes pairs, Tu ignora les ordres des violets. Signant ton aller en Enfer, Au même titre que ta lettre d’arrêt. Tu as pris ton temps mais tu as compris. On t’a dit que tu allais en pâtir, On l’a même écrit, Toutes les vérités ne sont pas toujours bonnes à découvrir... --Membre Alexender Da Silva.	Banni Alexender Le 06/02/18 à 15:45

=-= Chasse =-= Caché dans l'herbe, tous ses poils baissés, La chimère attend une proie fatiguée. Grondant légèrement, regard brulant, Seul un elf l'entend en se concentrant. Il suffit peu pour qu'un mouton perdu Passe juste auprès d'elle, trop détendue. Découvrir l'aboutissement est ordinaire Quand on connait la chimère qui chasse. Un saut, les êtres roulant sur le sol, Et en un seul coup de crocs bien placé, S'arrêtent tous les chants des rossignols. Blanc immaculé, Rouge l'a troublé. Écrasé par son rapide assaillant, Au moment où l'herbe rougeoie, tué, La chimère se redresse, hurlant, Vers la Lune qui semble l'écouter. - Membre Nooshi	Membre Nooshi Le 06/02/18 à 16:41

=-= Le Lendemain =-= Le nouveau cycle vient se lever, Sur un monde au bord de l'agonie. Ses serviteurs ont su nous blesser, Mais par la se dressait la sortie. Un mécanisme de terreurs, A nos portes nous allions succomber. Mais par leurs sombres erreurs, Face à eux nous nous sommes relevés. Ce cyclame est emplis par des ruines, Vague d'une époque révolue. Chacun en a connu la prime, Possibilité perçu par le Cornu. R. B.	Mort Elenna Le 06/02/18 à 20:23

~ C'est l'hiver ! ~ Elle craque sous les pieds, Il ne faut pas la manquer, De moins en moins présente chaque années, Elle égaye toujours les cours de récrée. C'est bien elle, la neige, Qui nous amène ce privilège, Celui d'apprécier et d'admirer, Cette blanche tombée. Elle ne vous paraît peut être pas si belle, Ni aussi réconfortant qu'une étreinte charnelle, Elle m'apporte pourtant du réconfort, En tombant toute la nuit dehors. Sortez, regardez la tomber, Ecoutez la craquer, profitez, Car on ne le verra peut être, Plus jamais par la fenêtre. - Paupau, la tarte aux myrtilles !	Déserteur Soahck Le 06/02/18 à 20:37

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