Il est temps de vous présenter les œuvres des participants !
Afin de faciliter le comptage des votes, chaque œuvre a été numérotée de 1 à 68 ! Pour voter, choisissez simplement dans le "selecteur", le numéro correspondant à votre oeuvre préférée :
Participations Images :
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Participations videos :
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46 - Julien :
http://www.youtube.com/watch?v=fjGEdOlvpbI
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47 - Kbee:
http://youtu.be/N1RmUVEJwFc
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48 - Valbrume :
http://www.youtube.com/watch?v=pedkIcZAzsE
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49 - AuNi :
http://youtu.be/8poUB5JCHGs
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50 - Quenoa :
http://www.youtube.com/watch?v=ojFnLmBG9ME
Participations poèmes :
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51 - Sylas :
Je te sens .... Je te sang... Je le sens ton sang... Je le glace !
Malgré le temps et l'espace.
De tes tripes... je me nourrirai...
De ton sang...je m'abreuverai...
Ton présent sera ton passé
Ton avenir à jamais annihilé
Tes entrailles fétides
Te rendront livide
Ta chair putréfiée
Sera si appétissante
Pour ma volonté affirmée
De ton nom, dans le Néant
Je serai ton Apocalypse
Ton Armageddon
Ton Eclipse
Ta Destruction
L'Enfer
Sur Terre
Succube
Incube
Dans le Cube
Kryt Krub Mondryk fanara çak jiarme.
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52 - Zeal :
Deux yeux,
Qui luisent.
Etoiles
De mort.
Le port,
Les voiles,
La brise,
Un lieu,
Tranquile, où
L'on peut apprendre.
Tant de Savoir.
Le village, calme,
Echo de la lame,
Lueurs du soir,
À les entendre...
Oh! Ce son doux!
Hors, on entend un bruit...
Ecoutez...on dirait...
Comme un lent sifflement,
Que le Cube produirait.
Un son qui vous mordrait
S'il le pouvait seulement.
Ah! Que ce son déplaît!
Comme un cri dans la nuit...
Oh! On dirait que tout trepasse!
C'est un seul long bourdonnement.
Le voyez vous? Là bas! Là bas!
Ce nuage noir! Il se meut?
Non...bouger? Le monstre ne peut
Se ruer en piaffant chez moi,
Tant que l'Orme, silencieusement
Tous les plus grands dangers efface...
Un grand danger? Des copeaux de fer!
Ah! Des insectes voraces par milliers!
Que regardera notre protecteur?
La taille? Le nombre? Le danger qu'ils apportent?
Est-ce possible qu'aujourd'hui notre porte,
Reste ouverte, et vomisse de tels malheurs?
Horreur! Le grand Orme les laisse passer!
Courrons nous refugier au Sanctuaire!
Oh, l'essain des Lemmings! Ces animaux maudits,
Quel bruit ils font! Voyant, si de ces monstres tu sauves
Le village, et la mer, et tous les habitants,
Les monts aux alentours, les forêts et ruisseaux,
Les bêtes des grandes plaines, les poissons et oiseaux,
Je te promet, oh! je le jure solennellement,
De me prosterner toujours devant chaque fauve,
Et tout ce que tu as fait, que tu penses et dit.
Oh! Encore une fois, quelle tristesse,
C'est le sanctuaire qui maintenant s'effondre!
Des blocs de granit grands comme ma carcasse,
Du plafond torturé pleuvent en hurlant,
On entend au loin liquefier le vent
Les cris! Les ordres! Tombe! Disparaît et casse!
Regardez les deux yeux! Voyez les fondre!
Ah! Que faut-il faire pour que ceci cesse?
La structure continue de trembler...
Les Lemmings! Voyez les! Ils entrent!
Ces êtres emportent tout! Ils chamboulent et ils rongent!
Et laissent dans leur sillage les méandres d'un grand Vide.
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53 - Duncan402 :
"Dans les sombres profondeurs glacées du Berceau,
Force antique et mystérieuse issue du Chaos,
Quelque chose s’agite, sous l’œil de son Hérault,
Dont le froid sourire encourage le Renouveau. »
« La neige silencieuse tourbillonne au gré du vent,
Mais il n’en a cure, et poursuit l’avènement,
Du sombre but qu’il recherche depuis si longtemps,
Obéissant aux ordres d’un démon malveillant. »
« Le Palien honni admire, presque tendrement,
Cette chose, qui marquera l’achèvement,
De sa si longue croisade contre le Voyant,
Car la Graine amène la Fin, qu’il souhaite ardemment. »
« Son visage se fige dans un sourire carnassier,
Il songe, sans mélancolie, à son proche passé,
Il pense à Andocythe, à sa stupide piétée,
A ses derniers cris, lorsqu’il l’a sacrifiée. »
« Il songe à Satinav, et son regard noirci,
A la pensée de ce traitre qui l’a trahi,
Mais qui somme toute y perdra bien plus que la vie.
Il songe à son nom, que tous désormais maudient.»
« Puis plus rien que le vide, et le froid si glaçant,
Pourtant il sait que cela n’est guère inquiétant,
LamPale connait la mort, l’ayant donné souvent.
C’est la Fin, mais le monde renaitra. Il attend. »
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54 - Hadrian :
La pluie tombe
Tout autour
Et puis danse sur la terre
Pluie, tonnerre et vent
Le chant des tempêtes
Voit le ciel
Entend ses cris
Les larmes tombent de mes yeux
Tout est dans le noir ce soir
Du ciel
A la terre
La pluie tombe tombe tout autour
Se jetant sur mes yeux
Désir des grands cieux
C'est une chanson, une mélodie
Un jour je sais que vous verrez
La tempête finir enfin
C'est une pluie, un ouragan
Une chute de tout sur la terre
Noyade de toutes vos âmes
La Mort vient les prendre
Le tonnerre et la pluie
Heurt en haut dans le ciel
La fin de tous vos rêves
Du ciel,
A la terre
La pluie, tombe tout autour
Seulement la pluie...
La tempête est finie...
joue une chanson, une mélodie
Alors tout le monde verra
Que la tempête est finie
Cette tempête
Nous marqueras
Dans le plus profond de nos cœurs
Tout a reconstruire
Et à démolir
Je vois encore, dans ma tête
Le grand nuage noir
Avec la tempête qui en sort.
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55 - Oonel :
Les éléments se déchaine,
L'océan se tarit,
Oh, douce vie,
Pourquoi nous laisser en berne !
Heureux de cette fatalité,
Les Paliens dans un dernier assaut se sont lancés
Dans l'espoir de nous briser,
Mais à jamais l'Ordre ne sera divisé !
Ils peuvent tuer, lyncher,
En honneur du Pale, et de sa fin du monde,
Mais jamais nous Terre, cette boule ronde,
Ne sera oubliée !
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56 - Smilsmil :
Le ciel s'est déchaîné,
La terre s'est déchirée,
La pluie et le vent,
Tombant dans la mer,
Soufflant sur l’univers,
Faisant couler le sang,
Les hommes terrorisés,
De partout affolés,
La pluie et le vent,
Tombant dans la mer,
Soufflant sur l’univers,
Faisant couler le sang,
Des monstres de la nuit,
Pendant l'orage s'aventurant,
La pluie et le vent,
Tombant dans la mer,
Soufflant sur l’univers,
Faisant couler le sang,
Puis l'oracle noir est arrivé,
Lumineux de volonté,
La pluie et le vent,
Tombant dans la mer,
Soufflant sur l’univers,
Faisant couler le sang,
Dans un coup de tempête,
La terre s'est étripé,
Détruisant la secte,
Et tous périrent noyés.
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57 - Maghyar :
Un envoyé solitaire,
Cherche sa raison d'être.
Oublié sur cette terre,
Cherche à mieux se connaître...
Pas de mémoire...
Peu d'espoir.
Pas besoin de miroir...
Pour se voir.
Au début joyeux,
Nombreux étaient ceux,
Qui suivaient ces yeux,
Avant les adieux...
Tous virent la fin,
Qu'ils soient incultes, ou superstitieux.
Tous virent de leurs yeux,
Qu'aucun ne survrirait, même pas un.
Chacun allait perdre sa vie,
Mais en ce cyclame,
Tout le monde vit,
Que l'autre avait une âme...
Qu'importe les anciennes querelles,
Ici régnait la confiance,
Au mépris des différences.
Dans une ambiance irréelle...
Ordreux, Paliens ou Neutres,
L'espace d'un instant,
En dépit du temps,
Etaient amis entre eux...
Quatre millénaires sont passés,
Depuis le cri des trépassés.
Une nouvelle vie commence,
Sur cette jeune semence.
Après un voyage aléatoire,
Ce monde s'est recomposé,
D'une lueur d'espoir,
Pour une nouvelle épopée...
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58 - Lucienlucifer :
Le monde est détruit
Par un oracle fou
La colère de la nuit
S'est abattu sur nous
Nos esprits
Dispersés
Tout s'enfuit
Le monde a explosé
Nous sommes réapparu
Aux pays des rêves
Des cauchemars, tout au plus.
Entre paliens et ordeux il y a trêve
La nouvelle alliance
Est forgé
Dans la défense
De l'alliance.
Il vas regermé
Réapparaître, revenir
Les haines vont résscussiter
Pour le meilleur, et le pire.
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59 - AndyAdams :
Une graine trouvée,
Un malheur arrivé.
Paliens et Ordeux
tous réunis,pour le meilleur
ou pour le pire.
Les larmes d'Herobrine,
coulant sans fin, comme de l'étain
Les oracles? des fouteurs de brine.
Dans un village,une petite fille mortelle,pleure
Mais les remortels, n'entendent pas les lamentations des mortels..Égoïstes que nous sommes
La Terre gémit,
ne supporte plus cet indifférence
Elle se lamente appelle ,au loin Herobrine...
Elle se déchire,se fragmente,se détruit
Et les larmes d'Herobrine,sans fin,rouge comme le sang, achèvent ce spectacle de désolation...
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60 - Lenny :
Sur cette terre ronde
Promesse de fin du monde
Apocalypse ici, déluge là
Toujours est annoncé cet au-delà.
Trois mille ans déjà
Qu’on nous rabâche cela
Rien ne vient, sinon la crainte
De faibles d’esprits qu’on éreinte
De ce mensonge permanent
Fait par des gueux et des manants
Pour asservir ce pauvre monde
Afin de bénir sans fin
Un panthéon de dieux immondes
Qui rend l’espoir vain.
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61 - Skyard :
La fin est passé,
Et nous avons tous trépassé,
Dans d'atroces souffrances,
Pour enfin atteindre la délivrance.
Et dans le néant,
Tout en dormant,
Nous repensons au passé,
Pour enfin nous en délivrer.
Herobrine le grand dieu,
Nous a fait redevenir des gueux.
Nous faisant renaître,
Dans un monde champêtre.
Pour la seconde fois,,
Le grand H a fait une croix,
Sur l'Ordre et ses croyants .
Et nous tels des manants,
Nous avons disparus,
Pour une durée inconnue.
Le monde souillé et ravagé,
A fini par se relever,
Et à se purifier de tous ses maux.
Et enfin se repeupler d'animaux.
C'est dans ce monde brut,
Que tel des grand ducs,
Nous allons nous envoler,
Vers notre nouvelle destinée,
Sous un soleil scintillant
Et suivis de chevaux galopant.
Un nouveau monde à explorer,
Un territoire vierge à apprivoiser,
De nouvelles aventures à vivre,
Il ne faudra pas y survivre,
Mais y vivre l'Aventure,
Et rendre toute sa carrure,
À l'ordre grandissant,
Dans ce monde verdoyant.
Ainsi dans notre épopée,
Nous allons tout explorer.
Découvrir de nouveaux mantras,
Servant a faire de la barbe-à-papa.
Et sous un soleil de plomb,
Nous nous élancerons,
Pour tout savoir sur herobrine,
Et sur le monde des origines.
Lui avec ses yeux tout sauf noir,
Nous réapprendra à croire,
Nous partirons à sa recherche,
Dans des contrées tout sauf reverches,
Et des monuments anciens nous déterrerons,
Et ainsi les messages gravés là nous déchiffrerons.
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62 - Haary :
C'est après l'horrible acte noir
Quand tous les éléments sont déchaînés
Que l'on tombe dans le désespoir
A l'aube du jugement des éveillés
La joie des paliens
La détresse des ordreux
On attend la fin
Loin d'être bienheureux
Quand la graine du monde
Envoie ses dernières ondes
C'est une pluie d'éclairs
Qui s'abat sur Terre
Après les pluies de feux
La destruction des lieux
Toutes les grandes averses
Cela, nous bouleverse.
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63 - Satoki13 :
La foudre frappant,
Les ténèbres menaçant,
Les trompeurs doivent quitter le village,
Nous devons faire nos bagages,
Avant que la fin nous voit,
Avant le désarroi,
La mort frappa,
L'ordre tomba...
Les cieux ont chuté,
La mort renaît,
Ils remonteront,
Elle chutera,
Il renaîtra,
Il reviendra,
La mort partira,
Le monde renaîtra,
La Terre se recréera,
La désolation disparaîtra,
Chronique de la fin,
Acte 6
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64 - Neylann :
Comme une mare de sang
Qui tâche le sol immaculé si blanc
Les racines de la Destruction sonne
Comme un appelle à la mort de l'homme
Sonnez la cloche, Sonnez le Glas
Sonnez la Fin, car tout s'effacent...
Ami, entent-tu le son des tambours ?
Ennemi, entent-tu le poids de tes actes, si lourds ?
Tend tes bras, et savourent les flammes, qui t'entourent
Tend ton coeur, et ressent toute la souffrance, oui c'est ton tour
Arriveras-tu à supporter
La colère des flammes déchaînés ?
Les déchirures des entrailles
Le chainon brisé de la maille...
Adieu la peine et le plaisir Adieu les roses
Adieu la vie adieu la lumière et le vent
Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses
Et soit heureuse avec l'enfant
Un grand soleil infernal éclaire la colline
Que la nature est belle et que le cœur me fend
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65 - Permilias :
Ainsi, le monde se détruit.
Ne laisse plus place qu'au vide.
Le Vide se resserre autour de notre abris,
et ne le stoppera aucun bouclier, aucune égide.
Le monde flambe, l'univers brûle,
sous le joug du destin,
notre foyer de détruit, note terre qu'on adule,
bientôt tombera sous le coup du toccin.
Courez, courez, autant que vous le voudrez,
Tombez, relevez-vous, saignez,
vous n'avez aucun endroit ou survivre, ou rester,
Bientôt tout sera annihilé
Tout, votre futur, votre présent, votre passé,
vous ne serez même plus une entité,
non, rien qu'une poussière dans l'éternité,
Et enfin peut être chaque homme sera dans l'égalité,
Face à la mort, on se fraternise,
on se tient la main, et l'instant s'éternise,
avant que nous faisions tous un pas en avant,
Pour tomber, ensemble, dans le néant.
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66 - Quenoa :
Tant de choses nous avons vécu, nous avons partager
Tant de choses il nous reste à apprendre, à voir, a découvrir
Tant de choses à continuer, à commencer.
Mais nos vies sont si peu de choses
Malgré tous ces merveilleux moments,
Ces merveilleux souvenirs, ces merveilleuses vies
Tout ça s'arrête, tout ça n’existe plus
Tout ça est partit en poussières sous nos yeux impuissants
Tels des bougies éclairant un chemin qui jamais n'aura de fin,
Ce chemin qui est le tien, le mien, le notre.
Mais maintenant,tout va recommencer,
Tout va reprendre, est ce que se seras mieux, ou pire ?
Personne ne peux le savoir,
Mais nous devons avancer, nous devons continuer
Cette fin qui nous a détruit, qui nous a tout pris,
Mais qui nous rassembleras plus encore
Pour ne plus jamais se quitter,
Ne plus jamais se laisser,
Ne plus jamais oublier ces vies qu'y nous ont rassemblées.
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67 - Qwan :
Un monde s'efface,
L'ordre broie du noir,
Tout cela va laisser place,
À n monde sans histoire.
Un monde va s'éteindre
Et à jamais disparaître,
Mais il faut s'astreindre,
De pleurer cette être.
Un monde va être créé,
Et la joie va revenir,
Mais il faudra rester concentré,
Pour protéger cette avenir.
Le temps va passer
L'ordre va continuer sa quête de savoir
Mais il ne faudra jamais oublier,
Ce monde et son histoire.
Un jour prochain peut être,
Si notre chance est toujours là,
Hérobrine, dans un instant de bien-être,
Andocythe, il ressuscitera.
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68 - Lars :
Silence sur terre, les humains se sont tus
Dans le ciel le soleil ne nage plus
La pluie parachève le chef d'oeuvre
La bruine marque officiellement cette heure
Le monde connaît enfin sa fin
L'homme l'a construite de ses mains
A coup de rejet des différences
Et avec ses guerres à outrances
Son language n'a plus de saveur
Ses sourires n'ont plus de couleurs
Et si l'autre ne pense pas comme lui
Il n'hésite pas à prendre un fusil
Ainsi j'assiste, impuissant
A la mort des enfants
Parce que l'on a sous estimé
De l'homme la cruauté
| Oracle Black Lemming
Le 15/07/13 à 17:38
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