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  • Flamine Benheent de Volion

  • Il n'y a rien de plus doux que le baiser du sable sur le visage du naufragé.

  • Fonction

    Flamine

    Race

    Humain

    Genre

    Masculin

  • Ampoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule éteinte
  • Réput. HRP

    Présence

    615 heures

    Réput. RP

  • Taille

    2m02

    Dortoir

    Vaem
  • Histoire du personnage

    "J'ai vu la vie naître et mourir des milliers de fois. Une fleur qui éclot, un agneau qui gémit, un bébé qui pleure. Une plante qui fane, un rôti, un vieillard qui expire. Tout ce qui est créé est grandiose mais tout ce qui est créé dépérit et retourne à la poussière. Alors ce soir je bois, je bois en l'honneur de la poussière, vive la poussière !" - Benheent de Volion, "Un Jour Avant la Fin du Monde" Déjà remortel sur l'Ancien Monde avant l'arrivée de l'Ordre sur Sangha, il est un être qui n'a pas vieillis avec les gens de sa famille et qui a pu voir mourir à cause de l'âge ses parents, ses frères et soeurs, mais aussi ses enfants et les enfants de ceux-cis et la progéniture de ceux-cis aussi. C'est pendant 300 ans qu'il a vécu comme un homme au visage changeant constamment. Chevalier, puis Conteur, puis Tavernier, Capitaine, Diplomate, Ecrivain, Poète... Après tant d'années de vie, il a pu apprendre à se passionner en tout ce que la vie offrait puis à s'en lasser pour finalement tout abandonner et repartir à zéro encore et encore. Il en est ressorti un homme plein de ressources mais aussi acerbe. Il se donne des grands airs, s'adonne silencieusement à la philosophie et rêvasse, imagine de grandes choses, plus grandes que tout ce qu'il a pu déjà faire. Mais n'est-il pas normal de se perdre dans son propre fantasme lorsqu'on se lasse d'autant de vies moroses ?

    Présentation du joueur

    §itreehome§r Homme semblant âgé d'un peu moins de la cinquantaine et aux cheveux ternis par l'âge. Son visage est creusé et ses yeux couleur acier. Sa carrure autrefois grande et massive s'est asséchée, ne laissant plus qu'une grande statue légèrement courbée et aux muscles secs et tendus. Dans son regard, on ne retrouve qu'une fatigue parfois illuminée par un éclat d'intérêt ou un sourire. Il semble placide mais n'a pas la langue dans sa poche.
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